Thalia Graves accuse P. Diddy de viol en 2001 : de nouvelles révélations chocs

[People] Le célèbre producteur et rappeur P. Diddy, déjà accusé de multiples crimes sexuels, fait face à une nouvelle plainte déposée par Thalia Graves. Celle-ci l’accuse de viol, une affaire qui remonte à 2001 et qui s’ajoute aux nombreux scandales entourant la star.

Thalia Graves accuse P. Diddy de viol en 2001 : de nouvelles révélations chocs

Une plainte accablante déposée à New York

Le 24 septembre 2024, Thalia Graves a déposé une plainte au civil contre Sean « Diddy » Combs, qu'elle accuse de l'avoir violée avec brutalité en 2001. Selon le document juridique, l'agression aurait eu lieu dans les studios de la maison de production Bad Boy Records à New York. Ce viol aurait été commis avec l'aide d'un complice, après que Thalia ait été droguée et ligotée.

Les éléments révélés sont choquants : les agresseurs auraient non seulement filmé la scène, mais la vidéo aurait également circulé. Ces nouvelles accusations viennent renforcer celles déjà émises par le parquet fédéral de Manhattan, qui a conduit à l'arrestation de P. Diddy une semaine plus tôt.


Un soulagement temporaire pour Thalia Graves

Lors d'une conférence de presse organisée au cabinet de son avocate, Gloria Allred, à Los Angeles, Thalia Graves a exprimé ses sentiments mitigés quant à l'incarcération du rappeur. « Je suis heureuse qu'il soit enfermé, mais ce n'est qu'un soulagement temporaire », a-t-elle déclaré. Elle a également souligné l'impact émotionnel profond de l’agression subie, expliquant que la douleur intérieure dépasse de loin les blessures physiques. Aujourd'hui encore, elle dit être traumatisée par cet épisode sombre de sa vie.

Un système basé sur la violence

Visé par plusieurs plaintes pour viol et agression sexuelle, P. Diddy a été arrêté le 16 septembre 2024 à Manhattan. Il a plaidé non coupable aux accusations de trafic sexuel et extorsion. Le procureur fédéral Damian Williams a décrit un système orchestré par l’artiste, fondé sur la violence et l’exploitation des femmes. Ces dernières étaient forcées à avoir de longues relations sexuelles sous l'effet de drogues telles que l’ecstasy ou le GHB.

L’acte d’inculpation souligne également que Sean Combs utilisait son réseau d’employés ainsi que les ressources de son empire commercial pour créer une véritable entreprise criminelle, impliquant notamment le trafic d’êtres humains et l'obstruction de la justice.

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