[People] L'enquête autour de P. Diddy prend une tournure encore plus inquiétante alors que de nouvelles informations sur son réseau de trafic sexuel sont révélées. Le célèbre rappeur est accusé d'avoir organisé des soirées où les victimes étaient filmées à leur insu et contraintes à des actes sexuels.
De sombres révélations : la perquisition d'une propriété en Floride
Les autorités américaines ont mis au jour des détails troublants lors de la perquisition de la résidence de P. Diddy en Floride. Des chambres secrètes, équipées de caméras cachées et d'outils de bondage, ont été découvertes, révélant un système organisé de surveillance.
« Si vous avez assisté à ces soirées, vous avez été filmé sous tous les angles possibles », a déclaré un agent du Homeland Security.
Les enregistrements servaient ensuite à faire du chantage, forçant les victimes à garder le silence.
Les soirées "freaks offs" : un cauchemar pour les victimes
Des jeunes femmes, souvent droguées à la kétamine, au GHB ou à l’ecstasy, étaient entraînées dans des soirées sexuelles surnommées « freaks offs ». Selon un membre des forces de l’ordre, ces rassemblements duraient parfois plusieurs jours, avec des victimes à peine majeures, ou même mineures, forcées à participer à des actes sexuels. Les témoignages de ces femmes sont soutenus par des preuves vidéo et physiques, rendant l'affaire d'autant plus accablante.
La justice refuse la libération provisoire
P. Diddy, de son vrai nom Sean Combs, demeure en détention malgré plusieurs tentatives de ses avocats pour obtenir une remise en liberté. La justice américaine a estimé que le rappeur représentait un « danger pour la communauté ». Sa détention provisoire a été maintenue en raison des risques élevés qu'il exerce des pressions sur les témoins ou entrave l’enquête. Son équipe de défense avait proposé un placement en résidence surveillée en Floride, une demande fermement rejetée par le juge Andrew Carter.
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