En Guinée équatoriale, la diffusion de vidéos intimes de Baltasar, directeur de l’ANIF, suscite l’indignation. Plusieurs femmes impliquées brisent le silence, tandis que les réseaux sociaux s'enflamment, entre accusations de manipulation et spéculations spirituelles.
L'une des femmes couchées brise le silence sur les vidéos intimes qui défraient la chronique
Le scandale a éclaté en Guinée équatoriale après que des vidéos explicites montrant Baltasar, directeur de l’Agence Nationale d'Investigation Financière (ANIF), ont été diffusées sur les réseaux sociaux. Dans un reportage de TVGE, la télévision d'État, une femme impliquée dans ces vidéos a témoigné, bien que son visage ait été flouté pour protéger son identité. Elle a déclaré avoir consenti aux relations, mais déplore que Baltasar ait conservé ces enregistrements sans son accord.
« Je voudrais savoir pourquoi il a gardé ces vidéos sans mon consentement », a-t-elle exprimé, visiblement bouleversée. Cette affaire a non seulement choqué l'opinion publique, mais a également soulevé des questions sur le comportement de Baltasar et sur les motivations derrière la diffusion de ces vidéos.
Lire aussi : Affaire Balthazar : plus de 400 maris trompés et des secrets explosifs révélés qui ébranle les valeurs morales
Une controverse spirituelle et énergétique
Dans un climat où les réseaux sociaux sont en effervescence, des spéculations sur des pratiques spirituelles et énergétiques viennent complexifier l’affaire. Selon certains commentateurs, Baltasar pourrait avoir exploité l’énergie sexuelle des femmes pour des raisons obscures. La polémique est alimentée par des allégations de manipulation spirituelle, notamment des pratiques d'incantations et de gestes spécifiques qui, selon des croyances locales, seraient utilisés pour « puiser » l’énergie de leurs partenaires.
« Ouvrez grand vos yeux. Il y a certaines personnes qui ont besoin de vos énergies sexuelles pour accroître leur pouvoir. Il y a une vidéo de ce monsieur (Baltasar) où il est dans les toilettes avec une jeune fille noire de peau. Derrière elle, il récitait des incantations à voix basse. Une autre vidéo où il est dans le lit avec une femme, il pose les deux pieds de la femme sur son torse (légèrement au niveau des épaules), ce geste si vous ne le savez pas est beaucoup sollicité chez toutes les femmes vierges et certaines femmes déjà actives sexuellement.C'est un moyen de puiser par leurs plantes des pieds leur énergie sexuelle. »
Un observateur cité dans le reportage a même conseillé aux spectateurs de ces vidéos de faire un jeûne spirituel, estimant que l'énergie dégagée lors de la visualisation de telles images pourrait être détournée à des fins mystiques. Cette croyance est renforcée par des descriptions de gestes précis pratiqués par Baltasar lors des enregistrements, des gestes supposés « aspirer » l'énergie vitale des femmes.
Le silence des autorités et les inquiétudes grandissantes
Alors que les révélations continuent de se multiplier, les autorités équatoguinéennes restent silencieuses sur la situation de Baltasar, une figure influente du gouvernement. Pour certains, cette affaire pourrait n'être que la partie visible d’un scandale de plus grande ampleur impliquant des membres de l’élite. La révélation de ces vidéos a mis en lumière des pratiques de surveillance et de manipulation qui ne semblent pas isolées.
Dans une atmosphère de méfiance et de frustration, les citoyens expriment leurs préoccupations. « Pourquoi ces vidéos ont-elles été rendues publiques et dans quel but ? » s’interrogent-ils. Pour beaucoup, cette affaire symbolise une perte de confiance en certaines figures d’autorité et alimente un débat sur la nécessité de protéger la vie privée et l’intégrité des citoyens.
Ce qu'il faut retenir- 🔹 La diffusion des vidéos intimes de Baltasar suscite un tollé en Guinée équatoriale.
- 🔹 Une femme témoigne de la conservation non consentie de vidéos intimes par Baltasar.
- 🔹 Des accusations de manipulation énergétique et spirituelle alimentent le scandale.
- 🔹 Le silence des autorités équatoguinéennes soulève des questions sur l’affaire.
- 🔹 L'opinion publique réclame plus de transparence et de protection de la vie privée.
0 Commentaires
Commenter cette actualité